Les chats Savannah et les chats Bengal peuvent être tous les deux enregistrés auprès de la TICA et de la CCA. Les chats Savannah sont à l’origine, à la première génération, du croisement d’un chat sauvage Serval et d’un Savannah ou un chat accepté par le standard de la TICA (Oriental, Ocicat, MauEgyptien, American Short Hair). La première génération de Bengal est issue du petit chat sauvage Léopard d’Asie et aucun croisement autre que le Bengal n’est permis, selon le standard de la TICA. Le Savannah est grand, long et mince avec des oreilles énormes; le Bengal est le contraire, il est plus court et plus lourd, avec de petites oreilles. Le pelage est, également, différent, le Savannah a des taches noires, des points solides et le Bengal a de beaux cernes avec des centres plus clairs appelés rosettes.
Les chats Bengal et Savannah sont plus actifs et animés que votre chat domestique moyen. Ils ont tendance à aimer jouer et courir par opposition à dormir sur vos genoux. Pour cette raison, ils sont surtout recommandés pour les ménages actifs qui ont l’énergie et le temps de jouer avec eux.
Les chats Savannah sont décrits comme des chat-chiens. Ils sont loyaux et nécessitent une énorme quantité de stimuli intellectuel pour rester heureux.
Il n’est pas rare pour les chats Savannah de se mettre à la recherche de plaisir et d’excitation.
Les chats Bengal ont également besoin d’une grande quantité de stimuli intellectuel, bien qu’ils ne soient pas aussi chien-chat que les chats Savannah.
Ils ont également tendance à être un peu plus bavard, et ont un Miaouw très unique par rapport à d’autres chats domestiques.
Il y a une énorme différence de taille entre ces deux races.
Les chats Savannah avec beaucoup de gènes sauvages peuvent atteindre 40 livres (F1). Leur corps long et élancé, a également tendance à donner l’impression qu’ils sont plus grands qu’ils ne le sont réellement.
Inversement, le Bengal atteignent 15 livres tout au plus.
Les chats Bengal sont également sujets à un certain nombre de maladies, y compris la dégénérescence rétinienne progressive et la carence en kinase pyruvate d’érythrocyte (carence en PK). Ils sont sujet, aussi, à des troubles digestifs.